Car enfin
Car enfin, il faudra bien que je te branle la queue, que je la malaxe entre mes mains enfantines, ingénues, maladroites, amoureuses. Car enfin, il faudra bien que je sente monter en toi les effluves du sang qui te drainera jusqu'à moi. Car enfin, il faudra bien que tu te penches vers moi, ou plutôt ce qu'il en restera quand je serai partie, mouillée, oubliée, offerte.
Car enfin, comme toutes les nuits, comme tous les matins, je te lècherai le gland, et ma main droite te tiendra fermement, doucement aussi. Car enfin, il faudra bien que tu m'apaises, que je t'apaise. Il faudra bien que tu me presses les seins, que tu me tires les cheveux, que tu malaxes mon surpoids dans tes mains, comme une crème, comme une pâte à pain, que tu m'écartes brusquement les jambes pour faire semblant de me violer, parce que j'aime bien ça, imaginer que je suis violée. Et puis il faudra bien que tu rentres, et qu'on s'embrasse.
Car enfin, je sais que tu ne seras pas dégoûté par le fait que je ferme les yeux, par le fait que je transpire un peu, et que je bave. Et moi je ne serai pas dégoûtée par ta force, par tes râles, par les bruits de nos deux corps se faisant l'amour.
Puis, je te dirai: " tu me prends par derrière?" et tu me diras " attends", et j'attendrai et je crierai. Puis tu me feras descendre du canapé, tu prendras la télé-commande de la télévision et tu couperas le son, pendant que je me mettrai à quattre pattes, en t'attendant. Car enfin, il faudra bien que tu me pénètres, que je jouisse, que tu jouisses.
Car enfin, qu'avons-nous d'autre au fond, que cela?
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