Le blog de Petite Pépée

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Un homme pour le sein droit, un homme pour le gauche

Un rêve.

Il y avait deux hommes pour me prendre. L'un était l'Amant, l'autre l'Amour. Cet amant qui m'attirait, j'aurais pu l'aimer. Cet homme que  j'aimais, j'aurais pu le désirer. Vous étiez donc 4, et j'étais deux : la madone et la putain. Nous étions donc 6 pour l'unique partouze.

 

J'étais couchée et nue sur un matelas blanc. Il n'y avait ni drap, ni oreiller, ni couette. De grandes vitres sans rideaux nous regardaient. A travers elles, Je pouvais voir de grands arbres bruns et gris, dont les branches étaient des femmes à genoux, qui tendaient les mains dans une prière vers le Ciel. C'était si beau à voir.

 

Soudain, l'amant se pencha sur mon sein gauche, et en suça le téton. C'est alors que mon âme partit en arrière et que je me perdis dans le rêve.

Lorsque je revins à moi, l'amant suçotait toujours, et jusqu'à la torture mon sein gauche,  je ressentais alors le profond besoin d'être pénétrée au fond de moi.

En gémissant, j'allais demander à l'Amour de me prendre mais il approcha son doigt de mon visage et le posa sur ma bouche : " chuuut".

Il suçota mon téton jusqu'à ce que je n'en puisse plus.

 

Ensuite Il se déshabilla. D'abord le jeans, puis le slip. J'étais couchée sur le dos. Il écarta mes jambes très fort, fit replié mes genoux de façon à ce que mes pieds touchent mes cuisses. Il me rentra dedans. L'amant lui, commença de m'embrasser de manière poussée, nouant sa langue dans le mienne, faisant mine, à certains moments de l'arracher. Et puis, ce fut son tour.

 

Les deux queues avaient deux manières différentes de me prendre, de me sauter, de me fussionner.

 

L'une était épaisse, profonde, elle faisait tranquillement mais sereinement son chemin au travers de moi, avec de gros coups qui me secouait le corps.

L'autre, plus fine, s'agitait avec frénésie et semblait chercher une petite bête à l'intérieur, faisait des ronds, semblait se retourner sur elle-même.

 

Le plaisir m'arrivait par vague, et ma voix, elle aussi, criait par vague, par à coups.

 

L'un des deux me retourna. A genoux, le front collé contre le mur, je ne pus discerner lequel à quelle moment me prenait. Le plaisir me faisait perdre tout contact avec la réalité.

 

Je perdis le contrôle.

 

Lorsque je me révéllai, mon vagin s'était contracté. J'avais joui. Mon ventre, enfin, était paisible.

Mes deux amants se couchèrent près de moi. Ils me firent des câlins, des caresses.

 

Le matin, je ressus un verre de chocolat chaud.

J'étais aimée pour l'éternité.



11/05/2014
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